2.2 Adresse électronique trop longue, trop complexe ou inexistante

2.1 Principes généraux 2.3 Article électronique

 

La plupart des sites et des bases de données s’efforcent désormais de proposer des adresses électroniques de longueur raisonnable, mais il arrive encore que l’on soit confronté à des url très longues et très complexes.

Quand un document électronique possède une url qui fait plus d’une ligne entière ou qui est très complexe (elle présente une longue série de chiffres ou de signes typographiques), il faut indiquer l’adresse de la page contenant soit le lien vers le document cité, soit l’adresse où on peut accéder au moteur de recherche du site concerné. Bien sûr, si on rédige un texte destiné au Web, il est possible d’inscrire la version raccourcie de l’url mais tout en spécifiant l’adresse entière dans les options d’hyperliens.

Plutôt que d’écrire : 

Tranchant, Marie-Noëlle. 2010. « Akira Kurosawa, un empereur en majesté ». Le Figaro. 22 juin. http://www.lefigaro.fr/cinema/2010/06/22/03002-20100622ARTFIG00829-akira-kurosawa-un-empereur-en-majeste.php.

On écrira :

Tranchant, Marie-Noëlle. 2010. « Akira Kurosawa, un empereur en majesté ». Le Figaro, 22 juin 2010. http://www.lefigaro.fr/recherche.

Bien sûr, si la référence apparaît elle-même dans un document électronique, il est recommandé d’ajouter un hyperlien fonctionnel pour que le lecteur puisse s’y référence en un simple clic.

S’il faut couper une url parce qu’elle s’étend sur plus d’une ligne, il faut le faire avant  :

  • une barre oblique ( / ) ou une double barre oblique (//).
  • un point (.)
  • une virgule (,)
  • un point d’interrogation (?)
  • un trait d’union (-)
  • un trait de soulignement ( _ )
  • un tilde (~),
  • une esperluette (&)
  • un chiffre.

Il ne faut jamais couper une url après un tiret.

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