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Les références à un jeu vidéo respectent la même logique que celle exposée pour les films (section 4.14) et se font généralement dans le corps du texte (si l’on préfère une « ludographie », voir la section 3.5.1).
Au minimum, le titre, le développeur et l’année de parution doivent être mentionnés lorsqu’il est question d’un jeu vidéo. Si ces informations n’apparaissent pas dans le texte courant, elles seront indiquées entre parenthèses lors de la première occurrence seulement. Le concepteur du jeu et le type de plateforme ou de console peuvent également être mentionnés si cela s’avère pertinent, et pourront donc être insérés dans la parenthèse. Hormis le titre, généralement cité dans la phrase courante, les différentes informations se présentent dans cet ordre : |Concepteur|, |Développeur|, |Console|, |Année|. Le traitement orthographique des titres respecte le modèle décrit ci-dessus pour les films.
Dans Journey (thatgamecompany, 2012), comme dans Shadow of the Colossus avant lui (Team ICO, 2005), la trame sonore est majoritairement non-interactive et contribue largement à façonner l’expérience du joueur.
L’année 2008 a vu une croissance marquée de la vente de titres indépendants, avec entre autres les succès de World of Goo (Kyle Gabler et Ron Carmel, 2D Boy), Braid (Jonathan Blow, Number None, Inc.) et Aquaria (Alec Holowka et Derek Yu, Bit Blot).