4.16.6 Localisation de l’œuvre (musée, site, collection privée)

4.16.5 Collection ou fonds 4.16.7 Année de création
 
Le lieu de conservation ou le site qui abrite l’œuvre, ainsi que la ville où il se trouve, doit toujours être mentionnée, sauf s’il s’agit d’une œuvre de grande diffusion. Cette information pourra soit apparaître dans le texte courant ou être intégrée dans la parenthèse de citation.

Il faut toujours indiquer le musée qui détient l’œuvre, même si cette dernière a été consultée dans un autre musée, lors d’une exposition itinérante (on peut mentionner l’endroit où l’œuvre a été consultée dans le texte courant, si pertinent). Quand la ville apparaît déjà dans le nom de l’institution ou du site, il n’est pas nécessaire de le mentionner de nouveau. S’il s’agit d’une ville peu connue, on peut éventuellement ajouter le pays ou l’état, si elle se trouve aux États-Unis. Quand l’œuvre ne fait pas partie des collections d’un musée, on indiquera soit le site (parc, place, jardin, etc.) ou le bâtiment qui l’abrite (église, théâtre, galerie privée, etc.). Si l’œuvre appartient à une collection privée, la ville et le site n’ont pas à être mentionnés, mais uniquement la mention « collection privée ». Quand l’œuvre appartient à l’auteur du texte, on peut mentionner plus précisément « collection personnelle de l’auteur ». Si le collectionneur jouit d’une grande notoriété, de par l’importance ou l’ampleur de sa collection, on peut également mentionner son nom, par exemple « collection Ulla et Heiner Pietasch ». Si enfin l’œuvre n’est pas exposée, mais a été consultée dans l’atelier de l’artiste lui-même, on indiquera plutôt « collection personnelle de l’artiste ».

La murale Presencia de América latina (acrylique sur stuc, 35,2 x 6,0 m, Ciudad Universitaria de Concepción, Chili), du peintre mexicain Jorge González Camarena, évoque la période précolombienne par l’utilisation de motifs hérités de l’iconographie aztèque.

Lecomte-Vernet produira dans la seconde moitié du 19e siècle une série de peintures orientalistes, mettant souvent en scène des femmes de l’Afrique du nord, comme par exemple La femme fellah (huile sur toile, 72 x 52 cm, collection Stuart Pivar, 1870).

 
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